aujourd’hui ce qui craque

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ce serait ma résolution à (ou plutôt penchant pour) éviter le délit esthétique de répétition…mais bien m’en a pris, et après tout on ne se baigne jamais dans la même rivière!

ce qui n’a pas craqué par contre, c’est ma résolution à obtenir une compensation après avoir récupéré mes bagages ce matin, et ce en utilisant la tactique de hausser-la-voix-tout-en restant-calme. C’est donc plus riche et surtout avec des vêtements frais que je reprends le chemin de la ville- Istamboul, me voilà (bis)!

AUJOURD’HUI CE QUI CRAQUE

aujourd’hui comment lui dire

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la combinaison son exécrable de mon téléphone et anglais brinquebalant de l’opératrice m’ayant valu une conversation bien laborieuse hier, j’ai résolu cette question aujourd’hui en déléguant la tâche à Zehra qui s’est escrimée avec deux opératrices pour finalement entendre que mes bagages étaient toujours ‘en transit…’

..jour 3 avec en partie les mêmes vêtements, grâce à T.urkish A.irlines j’ai appris qu’on pouvait très bien passer un week-end enchanteur à Istamboul en venant juste avec un sac à main..

AUJOURD’HUI COMMENT LUI DIRE?

aujourd’hui le confort c’est

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une chambre à soi. Mais pas dans le sens woolfien, plutôt dans celui de la pauvre Sylvie qui a vu tous ses arrangements acrobatiques acrobatiques bien mis à mal par les défaillances techniques ferroviaires belges, les défaillances aériennes turques (qui, certes, compensent les précédentes), les défaillances bagagières atatürkiennes (sur 4 passages dans cet aéroport, mes bagages ont été égarés trois fois- plus jamais je ne mettrais ma valise en soute!), les défaillances proximiemmes (gsm refusant de se connecter et m’empêchant d’organiser la livraison des mes bagages chez mon hôte, ainsi que de la contacter).

Bah,tant pis- je rêve d’une sieste, et d’habits et de cheveux propres, mais Istanbul, les rues escarpées de Beyoglu et celles bondées de Fatih arrivent quand même à m’enchanter…

AUJOURD’HUI LE CONFORT C’EST

aujourd’hui orange

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les minutes à écrire, les emails à répondre, les recrutements problématiques à gérer à coups de fils entre ici, Norvège et Afghanistan, les demandes de bons de commande datant de Mathusalem, les documents du prochain CoDir, l’avis juridique circonstancié sur une convention qui m’est envoyée alors que je décroche le téléphone tout en répondant à quelqu’un..

…mais le feu finit par passer à l’orange! Et il est temps de rentrer finalis- euh, finir ma valise- Istanbul, gelyorum!

Aujourd’hui orange

Je me demande bien ce qui me coûte une demie-heure entre le moment où j’ai fini mon p’tit déj’ et celui où je sors de la maison. Par contre je sais TRÈS BIEN pourquoi j’ai mis la moitié du temps en plus pour arriver au bureau.

C’est la faute du camion-poubelle. Monstre orange entr’aperçu au bout de la rue, je bifurque pour l’éviter ce qui forcément ne m’aura au bout du compte pas fait aller plus vite. MAIS du coup je loupe un premier feu, me retrouve coincée derrière un lambin, et paf! vert, orange, j’accélère, je pile. Râté. Et de ronchonner sous l’azur sans nuages.

AUJOURD’HUI ORANGE

aujourd’hui table de

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C’est l’affluence au cours de chant, où deux classes se télescopent… mais même à six nous parvenons à nous approprier chacun une table d’écolier où éparpiller toutes nos affaires. Et c’est dispersés à travers la classe, assis d’une fesse sur lesdites tables, que mes camarades m’écoutent m’escrimer sur Marie-Christine, avant que Mehdi vienne compéter le désastre une octave approximative plus bas. Il pleuvra peut-être demain à cause de nos cris de chats égorgés, mais c’était bien drôle!